Givré Frappé
Givré Frappé par MPM Summer
Avec le collectif de managers MPM l’été sera givré frappé autour de billets rafraichissants ! Si vous aussi vous souhaitez publier vos lignes d’été, contactez nous et nous vous mettrons à la UNE de MPM SUMMER
Le 15 Juillet: votre été Mer, Pédalo, Management
L’été est souvent un moment privilégié pour prendre soin de vous ! Là où vous serez, MPM vous propose de pratiquer l’enveloppement durable ! Cet enveloppement passe par tout ce qui nous est intérieur, proche et familier. Notre joie de vivre, notre terroir, ses racines et notre sérendipité en sont donc des ingrédients très précieux. Chacun se sent plus fort une fois enveloppé de ce qui nous est proche, intime et familier. Plus osé que développement durable…MPM vous incite donc à découvrir tout l’été l’enveloppement durable !
Pierre Olivier GROS
Le 16 juillet de l’été 2014: l’époque Co
Dans les entreprises comme ailleurs, la hiérarchie génère un « ordre froid » en pompant de l’énergie au système qu’elle structure. A l’inverse, l’organisation en réseau génère un « ordre chaud » en injectant de l’énergie dans les processus d’échange qu’il génère. Partout l’émergence de ce nouveau type d’ordre induit des structures décentralisées et auto-organisées générées « du dedans » et non plus « du dehors » par une hiérarchie surplombante ! C’est cet ordre chaud qui fait émerger notre époque CO : co- création, co-construction, co- opération, co-habitation !
Le 24 juillet de l’été 2014: la réciprocité du milieu
Petit rappel de physique complexe : Tout système vivant s’accomplit d’autant mieux dans son milieu que le milieu s’accomplit grâce à tous les systèmes qui s’y transforment ! Pour rester vivante, l’organisation de notre système socio-économique doit donc restaurer une mutualisation des évolutions et une réciprocité des transformations avec son milieu ! A ce titre, la mutualisation et le prêt réciproque de compétence peuvent être une sacrée assurance-vie !
Le 31 juillet de l’été 2014: le nouveau marché de l’emploi…des compétences
En management comme ailleurs l’idéologie beaucoup de dégâts et mène souvent à des idéalismes !
Un des idéalismes les plus courant en management est l’obsession des process avec en particulier l’obsession de la planification et du contrôle pour obtenir en retour une illusoire visibilité et un semblant d’obéissance.
Ce qui n’est pas illusoire en revanche c’est le profond divorce entre travail et compétence induit par les process souvent excessifs de planification et de contrôle.
Une des solutions pour s’éloigner de cet l’idéalisme managériale est de revenir à une logique neo-artisanale avec un marche du travail construit avec les compétences et les savoir-faire comme porte d’entrée dans le système (et non pas la recherche d’un statut). L’avenir du marche du travail peut être assimilé à une toile socio-économique qui se comporterait comme un moteur de recherche en savoir-faire et compétences sur un territoire donnée ! Dans ce nouvel espace socio-economique, on se prêterait, on s’échangeait ou on se louerait mutuellement et réciproquement ses compétences au sein de réseaux autonomes, responsables et créatifs. Dans ce nouveau marche du travail, sa localisation, le niveau de ses compétences et leur niveau de recommandation deviendraient les 3 nouveaux étalons de l’employabilité de chacun !
Juillet le 5 août de l’été 2014: turbulences et effervescence
Le temps ne passe, il s’accumule ! Cette vision du temps induit partout l’émergence d’interdépendance entre des phénomènes à priori lointains et sans rapport (c’est le fameux effet papillon !) et une prévisibilité décroissante des effets de cette interdépendance du fait des sauts de complexité induit par le processus accumulatif (c’est la fameuse théorie du chaos !). Pour l’emploi des compétences, ces contraintes d’interdépendance toujours croissantes et de prévisibilité toujours décroissante au fil du temps expliquent l’émergence de réseaux d’individus mutualisant leur compétences pour des collaborations plus ou moins éphémères et réversibles : on peut en effet être demandeur, offreur voir médiateur de telle ou telle compétence.
A l’évidence une telle architecture des compétences dans l’espace-temps est bien plus performante que les systèmes très souvent contractuels et/ou hiérarchiques classiques pour répondre au besoin d’agilité et de réactivité induits par les turbulences et les effervescence du marché du travail ! De plus, les systèmes de recommandations mises en place dans ces réseaux créent une reconnaissance mutuelle des membres gage de confiance et de performance.
Le 13 août de l’été 2014: En piste!
C’est quoi être postmoderne ?
Être postmoderne c’est être habité par une nouvelle forme de vitalité pour se sortir des impasses dans lesquelles des croyances dépassées nous ont jetés.
Philosophiquement, politiquement, économiquement et socialement, de nouvelles tendances et de nouvelles effervescences viennent tout bousculer en créant un tourbillon souvent étourdissant et insaisissable selon nos repères actuels.
Aujourd’hui déjà et demain plus encore, de « nouvelles énergies de vie » seront indispensables pour accompagner ses nouveaux modèles et ainsi avoir au moins une chance de participer à la construction du monde de demain….
Et vous en quoi êtes-vous postmoderne ? Sortez vos crayons de couleurs!
Vous pouvez nous répondre dans votre langage préféré ! Écriture, poème, photo, métaphore, analogie, clin d’œil…etc